Résolution de l’UNESCO

Résolution de l’UNESCO

  •   Premier Ministre Netanyahou lors de la réunion de son cabinet
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    Prime Minister Netanyahu at the weekly Cabinet meeting Prime Minister Netanyahu at the weekly Cabinet meeting copyright: Reuters/Amir Cohen
     
     
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    ​« Hier, l’UNESCO a encore adopté une résolution délirante concernant le statut d’Israël à Jérusalem, la capitale du peuple juif depuis 3 000 ans. J’apprécie l’unité de presque tous les partis politiques pour rejeter cette résolution absurde. J’aimerais dire que ce harcèlement systématique a un prix. 
    En vue de la résolution, j’ai demandé au Directeur Général du Ministère israélien des Affaires Etrangères, Yuval Rotem, de supprimer 1 million de dollars des fonds qu’Israël transfert aux Nations Unies. 
    Israël ne restera pas indifférent alors que l’organisation appelle au rejet de notre souveraineté à Jérusalem. 

    Je dois mettre un point un avant. Si l’on compare à l’année dernière, plus de pays se sont opposés à cette résolution, et moins de pays l’ont soutenu. 

    Je remercie les pays qui ont répondu à ma demande de voter contre cette résolution, surtout les Etats Unis qui n’avaient besoin d’aucune sorte de motivation. Mais je souhaiterais surtout remercier le Ministre des Affaires Etrangères Italien et Premier Ministre. L’Italie a été le premier pays européen à annoncer qu’il s’opposerait à la résolution. 
    La Grèce, le Royaume Uni, l’Allemagne, la Lituanie et les Pays Bas s’y sont aussi opposés. 
    Je voudrais aussi remercier le Président de l’Ukraine, et les dirigeants du Paraguay et du Togo. 
    Pour la première fois à l’UNESCO, plus de pays ont voté pour s’opposer ou s’abstenir plutôt que de voter en faveur, et c’est bien sûr important. 

    J’aimerais remercier Yuval Rotem et le personnel du Ministère des Affaires Etrangères qui ont accompli un travail minutieux. Nous travaillons constamment pour améliorer le soutien qu’Israël reçoit dans les instances internationales afin de mettre en avant le développement croissant de nos contacts bilatéraux avec les pays. Nous travaillons aussi constamment pour réduire, et peut-être un jour infirmer complétement, le théâtre de l’absurde des Nations Unies en ce qui concerne l’Etat d’Israël.