Israel,Netafim

Israël et le développement rural : Cas Netafim

  •   Le 29 Novembre 2012
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    Israël accorde une place essentielle à l’aide aux pays en développement.

    Du 12 au 29 novembre dernier, le Consulat d’Israël à Marseille dans le cadre de la quinzaine israélienne organisée par Maison Blanche a mis à l’honneur  MASHAV, le Centre de Coopération Internationale du Ministère des Affaires Etrangères israélien et NETAFIM, pour démontrer le soutien qu’Israël apporte ainsi que la transmission de son savoir-faire partout dans le monde et plus particulièrement en Afrique.

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    Ayant conquis le désert sur son propre territoire, Israël est disposé à mettre son savoir-faire au service des pays africains qui cherchent à s'assurer une production agricole régulière malgré une pluviosité de plus en plus imprévisible

    On peut rappeler que l’un des aspects les plus importants pour ces pays, c’est la technologie et l’utilisation de l’eau. Le monde est en train de s’assécher. Il y a moins d’eau, moins de jours de pluie.

    L’expérience d’Israël dans ce domaine est didactique. En Israël, nous utilisons de l’eau recyclée, de l’eau dessalée, de l’eau de pluie, de l’eau saumâtre, ce qui n’est pas forcément le cas ailleurs dans le monde.

    Les recherches en hydrologie ont permis aux agriculteurs israéliens d’utiliser 30% d’eau en moins tout en multipliant par 2 leur production ces dix dernières années.

        L'objectif d'Israël est de partager ses connaissances et son expertise, notamment en matière   d'irrigation et de gestion de l'eau avec ces pays.

         Quelle est la situation en Afrique Centrale et Afrique de l’Ouest ?

    §  7 M d’ha sont irrigués pour un potentiel de 39 M d’ha, dont les 2/3 sont concentrés en Afrique subsaharienne et au Soudan.

    §  Des millions d’habitants doivent faire face à des pénuries alimentaires, dues à une pluviométrie quasi inexistante et à un manque d’infrastructures sur place.

      L’irrigation est donc la solution à cette situation. Plusieurs techniques existent mais seule celle du goutte à goutte est la plus efficience car peu consommatrice d’eau, denrée rare dans ces régions.

     

    Grâce à l'intervention de M. Dollon, responsable agronome export pour la société NETAFIM, nous a apporté son témoignage et sonéclairage pour mieux comprendre la technologie du goutte à goutte et son application concrète sur le terrain.



    Pour obtenir plsu d'information sur cette technologie et sur la conférence :


    Marie-Laure Cohen 

    Département Économique & Commercial

    economy@marseille.mfa.gov.il


     
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