Brussels Jewish International Film Festival 2022
Après deux ans d'absence, le Brussels Jewish International Film Festival (BJIFF) revient pour son édition 21" du mardi 8 mars au dimanche, le 13 mars 2022, dans deux des meilleurs cinémas d'art et d'essai bruxellois : le Cinéma Palace et le Cinéma Vendôme, sous la houlette d'un tout nouveau directeur artistique, Samuel Kujas.
Au programme, une sélection de pépites cinématographiques aussi riches tant ils sont variés, fruit de l'imagination de réalisateurs juifs et non juifs d'Amérique du Nord, de France, de Norvège, de Russie et bien sûr d'Israël...
Plutôt que d'opter pour un thème en particulier, Samuel Kujas a choisi de laisser libre cours à ses envies et ses coups de cœur. Cela se reflète dans ce programme qui mêle le rire aux larmes, la littérature à la botanique, les sujets universels et les histoires marquées par la judéité.
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Au Programme:
En avant-première nationale
le premier long métrage de Sandrine Kiberlain
Une jeune fille qui va bien - Mardi 8 mars à 19:00, Cinéma Palace
Irène, jeune fille juive, vit l’élan de ses 19 ans à Paris, l’été 1942. Sa famille la regarde découvrir le monde, ses amitiés, son nouvel amour, sa passion du théâtre. Irène veut devenir actrice et ses journées s’enchaînent dans l’insouciance de sa jeunesse. Mais évidemment, nous sommes en France en 1942 …
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Lauréat de 7 Ophirs Awards 2021 dont Meilleur Film
Let it be Morning, réalisé par Eran Kolirin
Mercredi 9 mars à 19:00, Cinéma Vendôme
Alors qu’il se rend au mariage de son frère, un citoyen israélien né en Palestine se trouve empêché de rentrer à Jérusalem quand la route se retrouve bloquée par des soldats israéliens, l’amenant à repenser son identité. |
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Prix de la meilleure fiction au Toronto Jewish Film Festival
Lune, réalisé par Aviva Armour-Ostroff
Jeudi 10 mars à 19:00, Cinéma Vendôme
Miriam est une juive sud-africaine qui vit à Toronto avec sa fille Eliza. Elle a passé sa vie a lutté contre l’apartheid. L’élection de Nelson Mandela en 1994 déclenche chez elle un trouble bipolaire qui va en s’intensifiant alors qu’elle doit faire face à des questions politiques, religieuses et médicales qui vont jusqu’à interroger son rôle de mère. |
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You had to be there
Documentaire de Avi Merkado & Yaron Niski
Vendredi 11 mars à 19:00, Cinéma Palace
Peut-on rire de la Shoah ? Guidé par Tal Friedman, célèbre comédien israélien, You Had To Be There part à la rencontre de survivants, d’humoristes et d’historiens afin de témoigner de la place de l’humour au cœur des pires épisodes de l’Histoire et dresse le rire comme outil de résistance et de résilience face aux plus épouvantables épreuves. Provocant, bouleversant et souvent hilarant. |
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Prix du Jeune Public aux European Film Awards 2021
The Crossing, réalisé par Johanne Helgeland Samedi 12 mars à 14:00, Cinéma Palace
Norvège. 1942. Sarah et Daniel sont des enfants juifs sur le point d’être déportés. Ils se cachent mais sont découverts et leurs parents sont arrêtés. Seuls, ils tentent alors de se rendre vers la terre neutre et lointaine de la Suède. |
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The Humorist, réalisé par Michael Idov
Samedi 12 mars à 19 :00, Cinéma Vendôme
URSS. 1984. Une semaine dans la vie de Boris Arkadiev, célèbre comédien de stand-up juif soviétique, tourmenté à la fois par la censure et l’oppression d’un régime décadent et par les incertitudes intimes qui empoisonnent ses relations. |
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The Adventures of Saul Bellow
Documentaire réalisé par Asaf Galay
Dimanche 13 mars à 16 :30, Cinéma Vendôme
L’histoire et l’ascension de Saul Bellow, écrivain controversé, intellectuel public réticent, homme à femmes, père, juif, américain … À travers les témoignages d’amis et de membres de la famille du romancier, le documentaire revient sur ses nombreuses identités et apporte un éclairage nouveau sur la façon dont il s’est inspiré de rencontres réelles pour nourrir ses personnages et ses récits. |
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Greener Pastures, réalisé par Matan Guggenheim & Assaf Abiri
Dimanche 13 mars à 19 :15, Cinéma Vendôme
À 79 ans, Dov, déjà veuf, est forcé par sa famille à entrer en maison de repos. Ruiné après avoir perdu son épargne retraite, il n’a d’autre choix que d’accepter de vivre dans ce qu’il considère comme une prison dont il ne pense qu’à s’échapper pour retrouver sa vieille maison. Quand il remarque que ses compagnons résidents fument du cannabis médical, il décide que son salut viendra de la vente de drogue mais la police, la mafia et peut-être même l’amour pourraient bien l’empêcher de réaliser son rêve |
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